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Extrait de notre « Pas Piqué des Verts » automne 2015:
En juin toujours, Quentin Jacques – citoyen de Bourseigne-Neuve et par ailleurs trésorier de notre locale Ecolo – a fait une interpellation citoyenne : il s’agissait d’inciter la commune à introduire un projet dans le cadre de POLLEC 2 (POLitique Locale Energie Climat).
Concrètement, cette initiative wallonne permettra à des communes de bénéficier d’un soutien financier pour le recours à une expertise externe en vue d’élaborer un Plan d’Action en faveur de l’Energie Durable dans le cadre de leur adhésion à la Convention des Maires. Il ne s’agit en rien d’une ixième usine à gaz, mais au contraire de projets concrets permettant les économies d’énergie et la production d’énergie à partir de sources renouvelables.
La commune possède de nombreux atouts, comme les forêts qui l’entourent et qui sont la première source de ses revenus, mais aussi dans son réseau de chaleur déjà existant, par exemple.
Nous ne pouvons que nous réjouir de la décision prise par la commune de déposer un dossier de candidature dans le cadre de la campagne POLLEC 2. Dossier accepté depuis lors. Cette décision est une réelle victoire pour le groupe Ecolo… bien qu’il ne participe pas au Conseil Communal.
Courant 2016, notre commune a signé la Convention des Maires.
Elle s’engage par là à prendre des mesures pour réduire son empreinte carbone.
Pour nous permettre d’élaborer notre PAED (Plan d’action pour l’énergie durable), nous avons besoin de vous.
Le questionnaire ci-dessous vise à réaliser une « photographie énergétique » de la commune.
Nous vous remercions pour votre collaboration et votre aide dans l‘élaboration de notre PAED (Plan d’action pour l‘énergie durable) qui vise à diminuer l’empreinte CO2 de notre commune.
Votre bourgmestre. Vincent Massinon
Gedinnois, remplissez le questionnaire POLLEC (Politique Locale Energie Climat)
http://actugedinne.be/questionnaire-pollec/
Pour le dernier Conseil Communal de l’année, peu de points à l’ordre du jour : principalement les budgets du CPAS comme de la commune, et les budgets des différentes Fabriques d’Eglise de la commune.
En ce qui concerne les budgets, nous ne recevons pas ceux-ci en séance, n’étant considérés ni comme faisant partie de l’opposition… ni de la presse ! Il nous est donc impossible d’éplucher ceux-ci, et donc de les commenter.
Quelques informations à relater malgré tout :
Le budget du CPAS est en augmentation de 8% par rapport à l’année dernière. La participation de la commune dans ce budget augmente de 8,5%, pour un montant annuel équivalent à 165€/habitant. Le service des repas à domicile continue de bien fonctionner. Le CPAS, à l’étroit dans ses murs, trouverait prochainement une solution pour déménager : des négociations sont en cours dans ce sens.
Lors de la présentation du budget – à l’ordinaire et à l’extraordinaire – de la commune, le point des Arpents Verts est à nouveau évoqué par l’opposition, qui continue d’être très critique sur ce projet.
Si l’infrastructure nécessite à terme d’être rentable – au minimum de ne plus coûter à la commune – et peut trouver certains usages (tels que proposés par l’opposition) qui bénéficieraient aux gedinnois – nous continuons de penser, comme la majorité, qu’il s’agit aussi d’un projet qui s’inscrit dans l’avenir et propose des retombées indirectes (commerces, consommation locale…) et à plus long terme (tourisme, attractivité de la commune).
Ambiance
Si l’ambiance entre majorité et opposition était plutôt courtoise, les relations entre Sylvianne Simon et le reste de la majorité sont de plus en plus tendues, et les désaccords de celle-ci s’expriment de plus en plus publiquement… ainsi qu’à travers son vote : il n’est pas rare qu’elle vote CONTRE la majorité… avec la minorité !
Notre influence indirecte
Il est à noter que notre influence sur les décisions de la majorité continue de percoler.
Depuis 2012, les décisions de la majorité ne cessent de se « verdir ».
Quelques exemples récents, s’ils ne sont pas parfaits, vont dans le bon sens… ou ne manquent parfois pas de nous faire – gentiment – sourire.
Lors de ce dernier Conseil Communal, par exemple, nous avons appris que le cahier des charges des baux de chasse avait été modifié, par exemple afin de permettre le meilleur usage des pistes de ski de fond avant et après le 15 décembre. Il en va de même pour certaines zones touristiques ou d’hébergement, telles que les alentours du Village de Vacances de Vencimont, centre YWCA et Boiron.
Si la décision manque encore d’ambition et d’audace, nous nous réjouissons malgré tout du sens et du signal qu’envoie cette disposition.
En ce qui concerne l’exploitation des parcelles de bois, les habitants sont encouragés – et même obligés dans certaines zones – à utiliser des huiles biologiques pour leurs engins et outils de coupe. Afin de préserver le label PEFC de nos coupes de bois, certaines clauses sont aussi à respecter. Cela va dans le bon sens…
Et pour finir, pour ceux qui pourraient penser que notre bourgmestre a découvert l’usage des émoticônes lors de la rédaction de l’article sur l’aménagement du lycée dans la dernière édition du bulletin communal (ce qui n’est pas tout à fait exclu), sachez en fait que chacun de ces « sourires » qui ponctue le texte « répond » à l’une de nos propositions d’aménagement du dit lycée !
Bien sûr, nous sommes ici loin de l’ambitieux projet que nous avancions lors du bilan de mi-législature – et dont nous vous avons reparlé lors de nos parutions suivantes – mais cela confirme à quel point le bourgmestre est l’un de nos meilleurs lecteurs ( !)… et combien nous l’inspirons dans ses décisions !
… même en petit comité, il est toujours temps de partager un bol de soupe, un verre de vin, une tranche de pâté de pays…
A la bonne franquette, quoi !
#tousàtable
Derrière le nom de code #tousàtable, se cachent une grande fête de l’alimentation, des auberges espagnoles réelles et une virtuelle! On vous dévoile tous les secrets de la grande opération du 9 décembre.
http://www.matele.be/tousatable-qu-est-ce-que-c-est
Bien avant huit heures trente, des amateurs de petits fruits patientaient dans leurs voitures, observant avec amusement les membres de la locale se battant avec la porte du garage – dont le mécanisme d’ouverture coinçait -, abritant les plants à distribuer.